Un chemin vers l'autonomie
Nous avons posé les poutres metalliques en une matinée. 1 tonne chacune…
Là où cela devient marrant c’est que la poclain n’a pas de frein. Alors si je me reçois la poutre sur la tête autant dire que je ne ferais pas de vieux os dans cette vie.
Mais bon j’en ai réchappé et nous avons désormais une base solide pour recevoir un bon gros poêle de masse.
Nous creusons alors un trou d’1 mètre de diamètre sur 1m50 de profondeur par rapport aux fondations et laissons passer la nuit.
Le lendemain:
La conclusion est sans appel. Nous ferons donc un puit à cet endroit et nous évacuerons le trop plein à l’aide d’un drain agricole. Autre observation: tout le reste du terrassement est sec mis à part le sud-est qui reste humide.
Nous creusons alors une tranchée pour l’évacuation le long de notre chemin d’accès.
Nous faisons appel à un pro pour le terrassement bien que nous possédions une poclain. Cette dernière étant en panne et n’ayant plus de freins m’incite à faire appel à du matériel en bon usage.
Après quelques jours, nous remarquons une grosse « infiltration » d’eau. Toute la partie nord est et ouest est inondée. Vu que nous sommes en contre bas d’une forêt et que s’échappe non loin de là un ruisseau issu des ruissellements d’eau, nous optons pour creuser un puit au sud ouest du terrassement afin de laisser les fondations au sec.
